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Histoire et Patrimoine

Augères est une commune située dans le département de la Creuse, sur le territoire de contractualisation Ouest et Sud Creusois et de la région de la Nouvelle Aquitaine. 
Elle est membre de la communauté de communes de Bénévent Grand Bourg. Cette commune compte environ 118 habitants répartis sur 12.43 km² soit 9 habitants par Km² avec une moyenne d'altitude de 452m. 
Augères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee. 

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants. 

Les villes voisines sont Azat-Châtenet, Montaigut-le-Blanc, Aulon, Janaillat et Saint-Silvain-Montaigut.
Les deux plus grandes villes les plus proches d'Augères sont Limoges à 65 km et Guéret à 22 km . 
Les gares les plus proches d'Augères se trouvent à Mourioux-Vieilleville (5km), Guéret (15km) et la Souterraine (33km). 

L’occupation humaine est très ancienne, prouvée par la présence d’un tumulus dont la fouille a exhumé des objets de l’âge de bronze exposés au musée de Guéret. La commune résulte de la fusion de deux paroisses Augères et Villard d’où la présence de deux églises et de deux cimetières.

Des sites intéressants peuvent être découverts au cours de balades :

–       Le bourg d’Augères avec ses maisons de maître en granite et sa petite place autour de l’église et son clocher en bardeaux

–       Le village de la Pouyade avec sa niche abritant une statuette et avec, plus loin, l’arbre de la liberté : mot lourd de sens car gravé pendant l’occupation.

–       Quelques tombes du cimetière de Villard sont remarquables et valent le détour. Elles sont construites en « faux bois » troncs, poutres, planches en ciment. On parle de la « maçonnerie arborescente » des « artistes rocailleurs » on peut aussi admirer cet art à Paris au bois de Vincennes, Parc Monceaux…….
–       L'arbre de la liberté : mot lourd de sens car gravé pendant l'occupation, il était devenu le point de ralliement, comme un symbole, pour les enfants de la Pouyade, effectivement s'y rassemblaient tous ceux qui avaient pris le maquis pour échapper au STO (Service du Travail Obligatoire).